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Publié le par shekina

Ecrire quand il neige, écrire aux premiers chants des oiseaux, écrire encore sous l’ardeur du soleil aoutien et sous la tonnelle au crépuscule.

Ecrire à l’aube quand les maisons n’ont pas encore ouvert leurs paupières de bois.

Ecrire toujours, malgré l’amertume, l’échec et le doute.

Le plus ardu est de garder vive la flamme des lettres et de l’entretenir sans l’étouffer.

Publié dans Elan du jour

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